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OU INVESTIR DANS LES HAUTS-DE-SEINE ? - 02/03/2015

Si vous souhaitez investir dans un bien immobilier dans le département des Hauts-de-Seine, vous pouvez bénéficier des conseils des diagnostiqueurs immobiliers certifiés AFNOR CERTIFICATION de la société DIAGTIS. En effet, le marché de l’immobilier est particulièrement complexe, et il est déconseillé de partir à l’aveuglette ou sur un coup de tête lorsque l’on souhaite acheter un bâtiment dans les Hauts-de-Seine. Car si ce département d’Île-de-France est chic et parfois même huppé, certaines villes souffrent de la crise immobilière, et les volumes de ventes est en chute libre. Aussi, n’hésitez pas à nous contacter avant d’investir dans les Hauts-de-Seine.

Neuilly-sur-Seine est l’une des communes les plus riches de France, et pourtant, le marché de l’immobilier n’est pas à son apogée, le volume des ventes immobilières ayant diminué de 50% l’année dernière. Les prix ont baissé de 15 à 20%, le prix au mètre carré étant descendu à 8500 euros. Levallois-Perret en revanche ne semble pas connaître la crise, la ville affichant une très forte de densité de population. Les ventes immobilières se maintiennent à un niveau très correct compte tenu du contexte économique, et le marché de l’immobilier se porte donc très bien dans cette commune proche de la Défense. En revanche, les quartiers de Levallois-Perret situés près de Clichy bénéficient d’une mauvaise réputation qui fait descendre fortement le prix au mètre carré, contrairement au quartier situés aux abords de la Mairie dans lequel les prix de l’immobilier ne cessent de grimper ces dernières années. De même, les appartements de petite surface trouvent plus facilement preneur, notamment du côté de la rue Carnot, qui bénéficie d’un emplacement stratégique pour ceux qui vivent à Levallois-Perret. Rueil-Malmaison quant à elle est une commune pavillonnaire extrêmement proche de Paris et donc particulièrement recherchée par les parisiens souhaitant bénéficier d’espaces verts et de calme. Cette commune chic ne connaît pas vraiment la crise et les maisons pourtant coûteuses ne restent pas longtemps sur le marché, notamment dans les quartiers situés dans le centre-ville qui se dynamise ces dernières années. Le secteur le plus prisé reste bien entendu celui se situant près de la gare RER puisqu’il est possible de rejoindre Paris en seulement 12 minutes, ce qui constitue un avantage non négligeable pour les résidents qui travaillent dans la capitale. La rive de la Seine est également un quartier très recherché car calme et agréable avec de nombreux parcs et espaces verdoyants. Les prix du mètre carré à Rueil-Malmaison se situent entre 5000 et 8000 euros en moyenne. Boulogne-Billancourt en revanche, tout comme Neuilly-sur-Seine donc, est en perte de vitesse et bénéficie d’une mauvaise presse qui a fait fuir une certaine clientèle. Le volume de vente a baissé de 50% en 2014. Le fort trafic automobile côté pont de Sèvres au sud de la commune n’attire plus les Français à la recherche de calme et de verdure. La demande n’est plus là et les prix dégringolent donc… sauf au nord de la commune : les abords du bois restent très résidentiels et les biens immobiliers situés dans cette zone de Boulogne-Billancourt sont très recherchés. Issy-les-Moulineaux en revanche est une commune dynamique en devenir qui séduit de plus en plus de parisiens. Cette ville moderne a attiré un peu moins en 2014, voyant le volume des ventes diminuer de 40% : pourtant, Issy-les-Moulineaux possède un avantage de taille pour de nombreux propriétaire, la taxe foncière étant très peu élevée. De ce fait, les demandes immobilières dans cette commune à proximité de Paris restent importantes, et ce malgré la crise de l’immobilier. Antony quant à elle a su rebondir et se défaire de sa mauvaise réputation en devenant une zone pavillonnaire particulièrement prisée. Sa proximité avec l’aéroport de Paris Orly, sa gare RER refaite à neuf, … sont autant d’atouts qui font de cette banlieue parisienne un endroit agréable qui remporte un succès surprenant ces dernières années. Les biens immobiliers les mieux placés ne restent pas longtemps sur le marché et s’arrachent à des prix plutôt élevés compte tenu du contexte de crise immobilière. Le secteur d’Antony attire plutôt des familles aisées, désireuses de s’installer non loin de Paris dans une commune dynamique et pavillonnaire contenant des infrastructures agréables. Montrouge, maintenant accessible par la ligne 4 du métro, a eu le vent en poupe jusqu’en 2012, avant de retomber dans l’oubli ces dernières années, l’engouement du début n’étant plus le même. Si les prix sont toujours aussi élevés, les biens immobiliers restent parfois en vente plusieurs mois avant de trouver un acquéreur. Cinquième ville la plus densément peuplée de France, les trentenaires aiment y vivre grâce aux nombreuses boutiques et bars branchés qui s’y trouvent. Dynamique, la ville de Montrouge n’a pas connu une baisse trop importante de ses ventes immobilières. Châtillon, grâce à l’arrivée du tramway T2, bénéficie d’un joli dynamisme, les parisiens étant particulièrement attirés par ce qu’ils surnomment le nouveau quartier parisien. Le marché de l’immobilier est particulièrement dynamique et, chose rare, les prix de l’immobilier sont en hausse. Investir à Châtillon semble donc être une stratégie payante, notamment lorsque vous souhaitez mettre un bien en location : les demandes sont très importantes et le nombre de logements encore réduit malgré les très nombreux programmes de constructions neuves. Finissons enfin avec la ville de Nanterre qui, très étudiante puisqu’accueillant de nombreuses universités réputées, bénéficie d’une position privilégiée aux portes de Paris. Les sièges sociaux de nombreux grands groupes y sont installés, ce qui dynamise la commune : cependant, la mauvaise réputation de la ville de Nanterre la poursuit, et se ressent sur le volume des ventes qui chute régulièrement chaque année, baissant encore de 10% en 2014. Le prix moyen au mètre carré est d’environ 4000 euros, ce qui est plutôt faible comparé aux autres villes des Hauts-de-Seine. Malgré tout, les biens immobiliers situés à Nanterre se vendent relativement facilement et ne restent en général pas trop longtemps à la vente, la demande étant encore là, notamment pour les étudiants.

Les communes sont donc très nombreuses dans les Hauts-de-Seine, mais ne sont pas toutes sur un pied d’égalité concernant le marché de l’immobilier. Il est donc recommandé de se renseigner sur le dynamisme des ventes immobilières dans une commune avant de choisir d’y investir. Vous pouvez dès maintenant prendre contact avec nos professionnels de l’immobilier qui se feront un plaisir de vous guider dans l’achat de votre futur bien immobilier dans le département des Hauts-de-Seine.

 

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